En réponse à une question d’un correspondant de l’IRNA sur les positions médiatiques répétées de Grossi, Kanani a déclaré que les relations de la République islamique d’Iran avec l’AIEA, fait partie des obligations qui doivent être mises en œuvre, notamment l’accord de garanties, donc M. Grossi sait très bien que les attentes de l’agence à l’égard de ses membres doivent s’inscrire dans le cadre de ses obligations et que les exigences au-delà n’ont aucune base légale.
Il a souligné que le maintien de telles positions par le directeur général de l'Agence internationale nuirait à sa crédibilité et ne serait pas constructif dans les relations avec un pays membre qui respecte pleinement ses obligations.
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a ajouté que, tandis que la Cour internationale de Justice se prononce sur les crimes contre l'humanité et le génocide commis par le régime sioniste, qui lance ouvertement des menaces nucléaires contre les pays islamiques, en particulier contre la population de Gaza.
Il est préférable que le Directeur général, compte tenu de sa position particulière, prenne la position que lui dicte son devoir juridique concernant ces menaces contre l'humanité. Son silence persistant n’a aucune justification et cette affaire suscite des interrogations dans l’opinion publique. La poursuite de cette tendance encouragera le régime sioniste à poursuivre ses crimes et ses menaces contre l’humanité.
Rafael Grossi, malgré la coopération étroite de l'Iran avec l'Agence internationale de l'énergie atomique, a une fois de plus soulevé des allégations dépassées contre le programme nucléaire pacifique iranien et affirmé, dans des déclarations à caractère politique, que Téhéran avait pris en otage la coopération avec l'Agence internationale en raison de ses différends avec l'Occident !
Votre commentaire